Témoignages d'étudiants partis en mobilité

Gonxhe Gashi, Lund University, Suède, 2021-2022, extraits

J’ai effectué mon année Erasmus pendant la période d’Août 2021 à fin Juin 2022, à Lund en Suède, où j’ai fait ma 3ème année de licence de droit. Cette année Erasmus était exceptionnelle, une expérience très positive dont je suis très heureuse de l’avoir fait.

Je suis partie en Suède en étant étudiante boursière, et même si la Suède est un pays cher, je m’en suis très bien sortie, et j’ai même voyagé ailleurs en Europe : Danemark, Allemagne, République tchèque etc. Donc avec une bonne organisation de ses dépenses, grâce à la bourse Erasmus, et la bourse mobilité internationale de l’Université, je me suis épanouie pendant mon année.

Les cours de droit sont tous en Anglais. Personnellement je suis bilingue donc je n’avais pas de difficultés mais les profs prennent bien en compte que tout le monde n’a pas le même niveau. Les cours sont très intéressants, on a pratiqué des négociations contractuelles fictives en droit de la concurrence. En droit de la migration et droits de l’homme nous avons fait des plaidoiries fictives régulièrement. Le côté pratique et les débats en classe m’ont beaucoup plu. Ça sort du cadre seulement théorique qu’on a dans le système Français.

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Valeriia Voitiuk, University of Sussex, Royaume-Uni, 2021-2022

C’était une expérience incroyable, j’ai pu rencontrer des gens qui sont venus d'un peu partout dans le monde avec qui je garde toujours contact.
La ville est super, on dirait petit Los Angeles, très cosy, LGBTQ friendly, les gens sont super ouverts, il y a toujours des trucs à faire, surtout que la ville se trouve à 1 heure de Londres en train! J’ai pu m’améliorer en anglais, je peux désormais parler couramment, j’ai eu également une expérience professionnelle car j’ai pu travailler sur le fameux Brighton Palace Pier.
Si c’était à refaire, je le referai x1000!!!

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Marzhan Bolebay, University College Cork, Cork, Irlande, 2020-2021

Je vous fais part de mon feedback par rapport à ma mobilité en Irlande (University College Cork), lequel vous pourriez partager avec les étudiants :
- La nature est magnifique
- L'université est très belle
- Les gens sont trop gentils
- Les études sont intéressantes
- Les professeurs sont très intelligents et approchables
- Les prix aux magasins sont un peu pareils comme en France.

Cette mobilité m'a beaucoup plu et m'a aidé d'intégrer mon travail actuel :

Premièrement, le fait de partir pour un semestre en échange montre que vous êtes adaptables, sociables et ouverts d'esprit.
Deuxièmement, vous améliorerez vos qualités personnelles et professionnelles et vous améliorerez votre niveau de langue.
Enfin, c'est très intéressant de découvrir un nouveau pays et sa culture, de changer votre environnement et sortir de votre confort-zone.

Je remercie sincèrement l'Université de Strasbourg pour cette opportunité et j'espère que plus d'étudiants vont aller par ce programme.
Si quelqu'un souhaitera de se renseigner plus, je vous permets de donner mon compte LinkedIn pour me contacter :
https://www.linkedin.com/in/marzhan-bolebay/


Clara Frémiot, University College Dublin, Dublin, Irlande, 2019-2020, extraits

Je suis partie pendant toute ma première année de Master en Erasmus à UCD qui était mon premier choix. UCD proposait beaucoup d’enseignements et se démarquait par la forte présence d’étudiants internationaux. La vie étudiante est très dynamique avec beaucoup d’associations et de clubs qui organisent des événements tous les jours pendant toute l’année universitaire. En Irlande, il n’y a qu’une petite dizaine d’heures de cours. La plupart des cours se font en amphithéâtre (« Lectures »), et certains se font également en TD (« tutorial »). Il y a donc le temps de travailler à côté des cours mais aussi de se divertir.

Je ne peux que conseiller la mobilité Erasmus. C’est une expérience unique et enrichissante tant sur le plan personnel qu’universitaire. On finit par rencontrer des personnes du monde entier, tous avec une culture différente. Le système universitaire irlandais est également intéressant à découvrir puisque les cours ne fonctionnent pas de la même manière et la vie étudiante est nettement plus développée.

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Caroline Troestler, Université Laval, Québec, Canada, 2019-2020

Concernant ma mobilité, je la considère comme une très bonne expérience, je n’ai aucun regret.

Le plus grand intérêt que j’y ai trouvé avec du recul, c’est d’avoir pu cibler mes enseignements vers le domaine que je visais pour ma poursuite d’étude. Sans cette année d’échange, je n’aurais pas pu acquérir des connaissances qui ont, sans aucun doute, eu de l’importance dans mon dossier de candidature en Master. De plus, voulant me spécialiser en droit international, partir à l’étranger était presque nécessaire. Découvrir un autre système juridique, une autre culture, un autre système d’enseignement, etc. Ce sont des atouts non négligeables pour la suite.

L’Université Laval plus précisément m’a permis d’évoluer dans un environnement dans lequel je me sentais en confiance et accompagnée tout au long de l’année. Le panel d’enseignements proposé est très large et particulièrement intéressant selon moi. Et l’université ayant l’habitude d’accueillir un nombre conséquent d’étudiants étrangers, tout est fait pour nous aider, des ateliers d’aides (soutien scolaire, aide administrative, conseils) aux sorties et activités organisées pour nous faire découvrir les environs.

Après avoir effectué ma L3 à l’université Laval à Québec, je poursuis cette année en Master de droit international et européen, parcours sécurité internationale, défense et intelligence économique, auprès de l’Institut du droit de la paix de l’université Nice Sophia Antipolis.


Loic Untereiner, University of Oklahoma, Norman, Etats-Unis d’Amérique, 2019-2020, extraits

L’idée de partir en mobilité à l’étranger m’est venue dès la première année de Licence Droit. C’est d’ailleurs recommandable de s’y prendre le plus tôt possible : le processus de candidature prend du temps. Certaines démarches légales doivent également être prises en compte pour partir étudier dans un pays non membre de l’UE, notamment en ce qui concerne le visa d’étude, l’obtention duquel étant conditionnée par des considérations d’ordre financier (preuve de fonds suffisants : environ $12.000) mais aussi d’ordre plus “juridique” (questionnaire du FBI, entretien à l’ambassade, etc). Ces démarches peuvent faire peur, mais à peine le pied posé sur le sol américain, vous vous rendez compte que cela en valait évidemment la peine.

Les cours seront dispensés, à raison de 3h par semaine, dans des salles accueillant entre 30 et 50 étudiants à la fois. La forme est à mi-chemin entre le TD et le cours magistral. Le professeur demande aux étudiants de lire les extraits du manuel qu’il a demandé d’acheter avant chaque cours de façon à pouvoir poser des questions à la classe. On lit et révise donc son cours avant de venir en cours.

La bienveillance et la gentillesse des Américains et la facilité avec laquelle ils viennent vers vous et s’intéresse à ce que vous faites, d’où vous venez, ont contribué à rendre mon séjour tout-à-fait mémorable. Plus que l’intérêt pédagogique et universitaire évident, je pense sincèrement que cette expérience en Amérique m’a grandi. Les Etats-Unis ont véritablement fait de moi un adulte.

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Maïa Zibolt, Université Laval, Québec, Canada, 2019-2020

L’année à Québec a été très constructive pour moi. C’est une grande chance d’avoir l’occasion de partir étudier dans un pays tel que le Canada. Cela apporte énormément sur le plan personnel et scolaire. En effet, ça m’a permis de découvrir une nouvelle culture, un nouveau mode de vie qui est très différent du nôtre. Ça m’a également permis de voyager et voir du pays tout en enrichissant mon cercle d’amis avec de nouvelles personnes. 

Sur le plan des études, c’est super de pouvoir découvrir une nouvelle façon d’enseigner, c’est relativement différent là-bas et très agréable car nous sommes moins nombreux en classe et plus proches des professeurs qui nous font cours. Il y a plus d’échange avec les professeurs, les cours sont plus interactifs. Voir un peu autre chose ça fait toujours du bien. Les examens aussi sont très différents puisqu’ils sont à livre ouvert et c’est intéressant d’aborder une autre méthode que celle dont on a l’habitude et qui est relativement stressante en général. 

Et puis nous avons l’occasion de pouvoir choisir tous nos cours et donc de faire des matières qui nous passionnent et qui se rapprochent de ce que nous aimerions faire en master ce qui est un plus dans le dossier je pense. C’est aussi l’occasion de découvrir de nouvelles matières qui ne sont pas proposées en France en licence.  Et c’est également l’occasion de découvrir un autre droit ce qui est très enrichissant je trouve.

Je poursuis mes études en Master 1 droit de la famille interne, international et comparé à la faculté de droit de Strasbourg.